25.9.13

On ouvre un livre au hasard et on lit




La beauté de l'enfance ombreuse, l'impardonnable tristesse au milieu des poupées, des statues, des choses muettes, favorables au double monologue entre moi et mon autre luxurieux, le trésor des pirates enterré en ma première personne du singulier.

Alejandra Pizarnik, Où l'avide environne.


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